DIDIER BARBELIVIEN

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Didier Barbelivien en concert à La Baule
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On a tous dans le cœur un refrain de Barbelivien. “Petite fille du soleil“, “Mademoiselle chante le blues“, “À toutes les filles“, “On va s’aimer“... Mais s’il vous reste un peu de place au fond de votre cœur de mélomane, alors veuillez y accueillir ses nouveaux refrains.

Ce seront ses derniers, car Didier souhaite désormais se consacrer à l’écriture pour d’autres que lui.
“Je préfère m’en aller du temps que je suis belle, disait Barbara. Je suis d'accord avec elle”, prévient Didier.

L’artiste n’a plus rien à prouver, mais démontre pourtant qu’il y a toujours des façons de raconter des histoires comme si c’était la première fois.

L'album
L’album s’ouvre sur “Suzy“, une tragédie, un crime passionnel. Voici un texte audacieux, dont on devine qu’il ne finira pas bien. Barbelivien ose et ça lui va bien. Puis vient “La chanson des tziganes”, un refrain à partager, comme Barbelivien sait si bien les inventer.

On l’écoute seul avec ce sentiment confus d’être plusieurs à l’entendre.
Le disque balance harmonieusement entre textes introspectifs et refrains à chanter entre amis, comme dans un film de Lelouch, qu’il retrouvera pour la B.O. de son prochain film.

Les amis, les amours, Barbelivien les célèbre à travers tout son album. Comme dans “Le temps d’aimer” où il retrouve Anaïs (“Les mariés de Vendée”). Ils ont vieilli pour certains, sont partis pour d’autres, mais leur présence reste intacte comme dans “Souvenirs”’, tendre évocation de l’ami Jean-Marc Roberts, un frère pour Didier.

Avec “Nuages gris”, il invoque les Bernard disparus, Tapie et Estardy, Christophe, Johnny, Michel Delpech. Barbelivien y questionne aussi sa foi, et l’on s’interroge avec lui. “Je suis croyant et j’estime que j’ai beaucoup de chance, les choses se font malgré moi, un peu au hasard” dit-il.

Didier Barbelivien écrit à l’instinct, et souvent c’est une “punchline” qui donne naissance à une chanson, comme cette phrase “Je passais par là comme le passé parfois” qui le pousse à écrire “Love Etc...” ou “Le timbre et l'enveloppe, la correspondance d’une époque”, première pierre d’un autre texte savoureux. Taquin, il joue avec la langue française qu’il connaît si bien, ainsi la consonne V habite chaque mot ou presque de la chanson “Ça va, ça vient”.

Le plaisir habite ce disque aux accents jazzy, élégamment mis en musique par Mathieu Chocat et Pierre Schmidt, respectivement pianiste et guitariste, fidèles compagnons de scène de Barbelivien, dont on ne dit pas assez qu’il est un excellent interprète. Il nous le rappelle jusqu’à la dernière note de l’album, qui se conclut sur “Ta main”, qui pourrait vous tirer une petite larme que vous n’attendiez pas. “Quelle que soit la main qui se tend, pour une seconde ou pour 100 ans, on est orphelin sur la terre d’une main de tendresse familière”.

Barbelivien, le chanteur, nous salue une dernière fois avec un disque qui ressemble à la vie, avec ses jours heureux et ses matins de pluie, avec ce temps qui passe et l’on n’y peut rien.

Le premier single s’appelle “La chanson des tziganes”, personnage imaginaire ou confidences sur ses origines, Didier n’a plus rien à nous cacher.

À 70 ans, comme il l’interprète dans l’un de ses autres titres, il se livre tel qu’il est, avec tout son cœur.
Décidément, un mot qui lui va bien.
INFOS & BILLETTERIE
Billetterie disponible sur www.diogene.fr, www.dryadestivales.com, www.atlantia-labaule.com et dans les autres points de vente habituels.

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